
Située à 3h de Paris en TGV direct, accédez facilement à La Baule, une destination exceptionnelle !
Membre du Club des plus belles baies du monde, venez vous détendre sur cette plage longue de 9 km.
Elle vous offrira un terrain de jeux aux dimensions exceptionnelles pour vos envies de Surf Paddle, Jet ski, Kit surf, Golf, Equitation, Vélo, Balades !
Une terre d’accueil incontournable pour vos visites culturelles, sportives ou festives !
Un luxueux studio extrêmement bien situé à la Baule :
3 min à pied de l’avenue commerçante du Général De Gaule (cinéma, restaurants, boutiques en tout genre)
3 min à pied, de la place du marché et de la plage
Face à l’église Notre-Dame, voisin de la Mairie et des beaux hôtels du St Christophe
10 min à pied du Casino Barrière
15 min à pied de la gare ou 5 min en taxi

Située à 3h de Paris en TGV direct, accédez facilement à La Baule, une destination exceptionnelle !
Membre du Club des plus belles baies du monde, venez vous détendre sur cette plage longue de 9 km.
Elle vous offrira un terrain de jeux aux dimensions exceptionnelles pour vos envies de Surf Paddle, Jet ski, Kit surf, Golf, Equitation, Vélo, Balades !
Une terre d’accueil incontournable pour vos visites culturelles, sportives ou festives !
Un luxueux studio extrêmement bien situé à la Baule :
3 min à pied de l’avenue commerçante du Général De Gaule (cinéma, restaurants, boutiques en tout genre)
3 min à pied, de la place du marché et de la plage
Face à l’église Notre-Dame et voisin de la Mairie et des beaux hôtels du St Christophe
10 min à pied du Casino Barrière
15 min à pied de la gare ou 5 min en taxi

La Baule
D’une plage à l’autre, par le remblai et les sentiers
La star incontestée, c’est la grande plage de la Baule. Elle déroule son sable fin en arc de cercle face à l’océan. Agréable à parcourir les pieds dans l’eau, elle réunit les cousins dans les clubs de plage, invite à la baignade dans une mer apaisée et, à marée basse, offre de vastes espaces de jeux. Sur le remblai, défilent les flâneurs en marinières, les coureurs connectés à leur smartphone et les cyclistes cheveux au vent.
Plus discrètes, des criques se succèdent au-delà des ports du Pouliguen et de Pornichet. Le sentier côtier dévoile des plages d’habitués, comme celle de Bonne-Source.
De nouvelles idées soufflées par l’esprit yachting
Les ports qui encadrent la Baule confirment la vocation nautique de la station. Des voiles de couleurs animent l’horizon ; la baie est idéale pour s’initier aux joies du dériveur, comme l’ont fait les frères Peyron ou Pajot ! Le kite-surf, le surf et le Stand-Up Paddle multiplient les sensations de glisse. Pour que la pratique reste un plaisir, des cours, des stages, des sorties sont proposés par les clubs installés sur le sable ou les quais.
Des villas nichées dans les pins
Au-delà du front de mer, le décor change. Depuis près de 150 ans et l’arrivée du chemin de fer à la Baule, des villas se cachent dans la pinède. Elles sont toujours le rendez-vous de grandes retrouvailles estivales. Leurs pignons travaillés, leurs bow-windows et leurs frises de mosaïque retracent différentes époques du style balnéaire. Une balade à l’ombre des pins ou un circuit guidé à Pornichet, de Ker Souveraine aux Farfadets, révèle leurs charmes et leur histoire.
Un art de vivre qui touche toutes les activités
A toute heure, la détente s’exprime avec élégance. Cela se voit dans les galops matinaux des chevaux, aux terrasses des restaurants de plage, dans les séances de thalasso ou en soirée au casino. Cela se savoure également sous les halles de Pornichet ou au marché de la Baule, comme en s’arrêtant chez Manuel pour goûter ses célèbres Niniches. Un peu plus canaille, l’apéritif se partage debout au Bidule, avant de rejoindre une table réputée.

GUERANDE
GUERANDE
Avec ses solides remparts, Guérande s’apparente à une « Carcassonne de l’ouest ». Mais derrière la ceinture de pierre, les toits d’ardoise des logis anciens confirment que cette Ville d’art et d’histoire est bien celte. Sa belle opulence provient des marais salants, lieu magique et étincelant.
Le pays de l’or blanc
Déjà, les Romains récoltaient le sel à Guérande. Des vestiges de villas témoignent de leur activité. Pour se protéger, la ville dresse des levées de terre. Insuffisantes pour interdire aux Espagnols de la mettre à sac en 1343. D’imposants remparts ceinturent alors la cité, lui donnant son allure médiévale. Au 15e s., durant l’âge d’or, 269 vaisseaux exportent sel et vin. L’ensablement des sites portuaires l’affaiblit. La relance vient du tourisme et du retour de la récolte artisanale de sel.
Entrez dans l’histoire médiévale !
C’est un décor de rêve pour le marché qui se tient à l’ombre des fortifications ! La magnifique muraille dorée de lichens enlace la ville sur 1,4 km. Quatre portes invitent les visiteurs à parcourir les ruelles tortueuses. La massive porte St-Michel, entrée principale, abrite un musée. Au-delà, les maisons à encorbellements, pans de bois et lucarnes ornées rythment votre promenade. Les manoirs du Tricot ou de la Prévoté sont de dignes représentants de cette architecture de caractère. La collégiale Saint-Aubin joue l’originalité avec sa chaire extérieure, desservie par un escalier à vis.
Au cœur d’une mosaïque de miroirs
Quel bonheur de se perdre dans le vaste quadrillage des marais salants ! Tôt le matin ou au coucher du soleil, les bassins étincelants arborent d’incroyables nuances d’argent, de bleu, de vert et de rose. Les petites pyramides blanches de sel sont façonnées par les paludiers « nouvelle génération » qui perpétuent un savoir-faire ancestral. De juin à septembre, ils récoltent le sel dans 7000 œillets, à l’aide de leur cimauge. La Fleur de sel, ce caviar de la saline, est délicatement cueillie d’un geste souple. Les marées, le soleil et le vent sont les meilleurs alliés de leur travail. Figures typiques, les salorges, de beaux hangars en bois, conservent leur récolte. Le superbe musée Terre de Sel vous fait partager cette passion salée !
INFO:

LE POULIGUEN
LE POULIGUEN
– Le Pouliguen vient du nom breton ar Poulligwenn ou ar Poulgwenn
On en trouve aujourd’hui une traduction poétique : La petite baie blanche.
– Les armoiries du Pouliguen :
Son blason : « D’azur, à la nef contournée, habillée et gréée du même, voguant sur trois fasces ondées d’argent, abaissées en pointe, au chef d’argent semé de mouchetures d’hermines. »
Les armoiries du Pouliguen ont été adoptées par le Conseil Municipal le 20 Septembre 1952.
Sa devise « DUC IN ALTUM » signifie : « Va au large »
– La Côte Sauvage, un site Natura 2000
La côte sauvage est un site protégé, son patrimoine remarquable (habitats naturels, flore, oiseaux) a été reconnu d’intérêt européen par le classement en site Natura 2000 en 2008.
Depuis 2010, la commune du Pouliguen a mis en place une gestion conservatoire des espaces situés de part et d’autre du sentier littoral.
– Labellisé France Station Nautique**
Depuis 2005, les communes de la Presqu’île de Guérande sont labellisées « France Station Nautique». La Station Nautique** La Baule – Presqu’île de Guérande compte une quarantaine d’établissements nautiques proposant initiations, cours, stages et autres services. Parmi toutes ces écoles, 8 sont labellisées « École Française de Voile » ; des structures de référence en terme d’apprentissage de la voile, dont le CNBPP, centre de voile au Pouliguen.
– Club des plus belles Baies du Monde
En novembre 2011, la Baie Le Pouliguen – La Baule- Pornichet a rejoint le Club des plus belles Baies du Monde
De la Pointe de Penchâteau à la Baie du Scall, la Grande Côte vous invite à la rencontre d’un espace naturel et protégé, où vous découvrirez ses baies, ses grottes et ses criques sauvages. PIED OU À VÉLO …
Accessible à tous, le sentier des douaniers qui borde la falaise vous offre un spectacle grandiose et toujours changeant, selon le rythme des marées. Mettez vos sens à l’écoute et laissez-vous bercer par la douceur du site…
Pour varier les plaisirs, les amoureux de bicyclette trouveront également leur bonheur en empruntant la piste cyclable : une vue panoramique à vous couper le souffle.
Au terme de la piste, dirigez-vous vers l’avenue Moreau qui vous permettra de rejoindre l’un des circuits Vélocéan et de continuer votre escapade vers Batz-sur-Mer.
Vélocéan est un itinéraire à l’initiative du Conseil Général de Loire Atlantique, destiné à relier par voies cyclables les départements de la Vendée et du Morbihan, en passant par la Loire-Atlantique.
Les amateurs de pittoresque pourront circuler, à marée basse, au pied et le long des escarpements, sur la grève humide.
Vingt-trois grottes façonnées par l’érosion longent la côte, quelques unes de forme curieuse, comme Le Rocher des « Corbeaux » près de Pierre Plate qui représente une énorme masse granitique entourée par la mer à chaque marée.
La Grande Côte est à pic sauf, à mi-chemin, Pierre Plate, rocher d’assez grande étendue descendant en pente douce de la falaise à la mer. Cette pointe avancée est divisée en trois parties par deux énormes rainures présentant chacune, à marée haute, un phénomène différent. L’une des crevasses est très étroite et mène partiellement à l’intérieur du rocher : à mi-marée, le flot y pénètre et y gronde comme un tonnerre assourdi. On la nomme « La Pétouse » ou « Trou du Diable ».
A l’entrée de la baie du Sphinx, la Grotte des Jumelles est, de toutes, la plus intéressante car la plus curieuse et pittoresque : on y accède par deux passages en forme de couloirs. Entre les ouvertures des Jumelles, la Cathédrale mérite également d’être remarquée. A l’entrée de cette grotte, la partie supérieure du rocher présente un mélange rose et vert pâle du plus heureux effet, et à l’intérieur les parois sont tachetées de traînées rouges.
La baie du Sphinx doit son nom à un rocher rappelant vaguement la forme de ce monstre, dont la partie représentant la tête s’est malheureusement détachée du bloc depuis plusieurs années. A côté se trouve la Grotte du Sphinx.
GROTTE DES KORRIGANS
De toutes les grottes, la plus célèbre reste celle des « Korrigans ». Depuis qu’on y a ouvert une fente latérale, elle est accessible par son escalier aux degrés espacés. Avant qu’on y eut percé le passage de sécurité, de célèbres personnages en vacances faillirent y rester bloqués lors d’un pique-nique. Ils avaient oublié que la marée montait.
Selon la légende, cette grotte était fréquentée par les korrigans, petits êtres noirs et vifs, se livrant la nuit à de mystérieuses occupations. Ils s’asseyaient parfois au foyer des gens du voisinage, rendaient des services ou se vengeaient malicieusement des tours qu’on leur jouait. Sur une parole, la paroi magique de la grotte s’ouvrait et laissait voir d’éblouissants trésors. Il aurait existé au fond de cette grotte, un conduit souterrain se prolongeant jusqu’à Guérande et dans lequel le Korrigan faisait disparaître les personnes assez téméraires pour oser pénétrer dans son domaine.

La Baule
D’une plage à l’autre, par le remblai et les sentiers
La star incontestée, c’est la grande plage de la Baule. Elle déroule son sable fin en arc de cercle face à l’océan. Agréable à parcourir les pieds dans l’eau, elle réunit les cousins dans les clubs de plage, invite à la baignade dans une mer apaisée et, à marée basse, offre de vastes espaces de jeux. Sur le remblai, défilent les flâneurs en marinières, les coureurs connectés à leur smartphone et les cyclistes cheveux au vent.
Plus discrètes, des criques se succèdent au-delà des ports du Pouliguen et de Pornichet. Le sentier côtier dévoile des plages d’habitués, comme celle de Bonne-Source.
De nouvelles idées soufflées par l’esprit yachting
Les ports qui encadrent la Baule confirment la vocation nautique de la station. Des voiles de couleurs animent l’horizon ; la baie est idéale pour s’initier aux joies du dériveur, comme l’ont fait les frères Peyron ou Pajot ! Le kite-surf, le surf et le Stand-Up Paddle multiplient les sensations de glisse. Pour que la pratique reste un plaisir, des cours, des stages, des sorties sont proposés par les clubs installés sur le sable ou les quais.
Des villas nichées dans les pins
Au-delà du front de mer, le décor change. Depuis près de 150 ans et l’arrivée du chemin de fer à la Baule, des villas se cachent dans la pinède. Elles sont toujours le rendez-vous de grandes retrouvailles estivales. Leurs pignons travaillés, leurs bow-windows et leurs frises de mosaïque retracent différentes époques du style balnéaire. Une balade à l’ombre des pins ou un circuit guidé à Pornichet, de Ker Souveraine aux Farfadets, révèle leurs charmes et leur histoire.
Un art de vivre qui touche toutes les activités
A toute heure, la détente s’exprime avec élégance. Cela se voit dans les galops matinaux des chevaux, aux terrasses des restaurants de plage, dans les séances de thalasso ou en soirée au casino. Cela se savoure également sous les halles de Pornichet ou au marché de la Baule, comme en s’arrêtant chez Manuel pour goûter ses célèbres Niniches. Un peu plus canaille, l’apéritif se partage debout au Bidule, avant de rejoindre une table réputée.

GUERANDE
GUERANDE
Avec ses solides remparts, Guérande s’apparente à une « Carcassonne de l’ouest ». Mais derrière la ceinture de pierre, les toits d’ardoise des logis anciens confirment que cette Ville d’art et d’histoire est bien celte. Sa belle opulence provient des marais salants, lieu magique et étincelant.
Le pays de l’or blanc
Déjà, les Romains récoltaient le sel à Guérande. Des vestiges de villas témoignent de leur activité. Pour se protéger, la ville dresse des levées de terre. Insuffisantes pour interdire aux Espagnols de la mettre à sac en 1343. D’imposants remparts ceinturent alors la cité, lui donnant son allure médiévale. Au 15e s., durant l’âge d’or, 269 vaisseaux exportent sel et vin. L’ensablement des sites portuaires l’affaiblit. La relance vient du tourisme et du retour de la récolte artisanale de sel.
Entrez dans l’histoire médiévale !
C’est un décor de rêve pour le marché qui se tient à l’ombre des fortifications ! La magnifique muraille dorée de lichens enlace la ville sur 1,4 km. Quatre portes invitent les visiteurs à parcourir les ruelles tortueuses. La massive porte St-Michel, entrée principale, abrite un musée. Au-delà, les maisons à encorbellements, pans de bois et lucarnes ornées rythment votre promenade. Les manoirs du Tricot ou de la Prévoté sont de dignes représentants de cette architecture de caractère. La collégiale Saint-Aubin joue l’originalité avec sa chaire extérieure, desservie par un escalier à vis.
Au cœur d’une mosaïque de miroirs
Quel bonheur de se perdre dans le vaste quadrillage des marais salants ! Tôt le matin ou au coucher du soleil, les bassins étincelants arborent d’incroyables nuances d’argent, de bleu, de vert et de rose. Les petites pyramides blanches de sel sont façonnées par les paludiers « nouvelle génération » qui perpétuent un savoir-faire ancestral. De juin à septembre, ils récoltent le sel dans 7000 œillets, à l’aide de leur cimauge. La Fleur de sel, ce caviar de la saline, est délicatement cueillie d’un geste souple. Les marées, le soleil et le vent sont les meilleurs alliés de leur travail. Figures typiques, les salorges, de beaux hangars en bois, conservent leur récolte. Le superbe musée Terre de Sel vous fait partager cette passion salée !
INFO:

LE POULIGUEN
LE POULIGUEN
– Le Pouliguen vient du nom breton ar Poulligwenn ou ar Poulgwenn
On en trouve aujourd’hui une traduction poétique : La petite baie blanche.
– Les armoiries du Pouliguen :
Son blason : « D’azur, à la nef contournée, habillée et gréée du même, voguant sur trois fasces ondées d’argent, abaissées en pointe, au chef d’argent semé de mouchetures d’hermines. »
Les armoiries du Pouliguen ont été adoptées par le Conseil Municipal le 20 Septembre 1952.
Sa devise « DUC IN ALTUM » signifie : « Va au large »
– La Côte Sauvage, un site Natura 2000
La côte sauvage est un site protégé, son patrimoine remarquable (habitats naturels, flore, oiseaux) a été reconnu d’intérêt européen par le classement en site Natura 2000 en 2008.
Depuis 2010, la commune du Pouliguen a mis en place une gestion conservatoire des espaces situés de part et d’autre du sentier littoral.
– Labellisé France Station Nautique**
Depuis 2005, les communes de la Presqu’île de Guérande sont labellisées « France Station Nautique». La Station Nautique** La Baule – Presqu’île de Guérande compte une quarantaine d’établissements nautiques proposant initiations, cours, stages et autres services. Parmi toutes ces écoles, 8 sont labellisées « École Française de Voile » ; des structures de référence en terme d’apprentissage de la voile, dont le CNBPP, centre de voile au Pouliguen.
– Club des plus belles Baies du Monde
En novembre 2011, la Baie Le Pouliguen – La Baule- Pornichet a rejoint le Club des plus belles Baies du Monde
De la Pointe de Penchâteau à la Baie du Scall, la Grande Côte vous invite à la rencontre d’un espace naturel et protégé, où vous découvrirez ses baies, ses grottes et ses criques sauvages. PIED OU À VÉLO …
Accessible à tous, le sentier des douaniers qui borde la falaise vous offre un spectacle grandiose et toujours changeant, selon le rythme des marées. Mettez vos sens à l’écoute et laissez-vous bercer par la douceur du site…
Pour varier les plaisirs, les amoureux de bicyclette trouveront également leur bonheur en empruntant la piste cyclable : une vue panoramique à vous couper le souffle.
Au terme de la piste, dirigez-vous vers l’avenue Moreau qui vous permettra de rejoindre l’un des circuits Vélocéan et de continuer votre escapade vers Batz-sur-Mer.
Vélocéan est un itinéraire à l’initiative du Conseil Général de Loire Atlantique, destiné à relier par voies cyclables les départements de la Vendée et du Morbihan, en passant par la Loire-Atlantique.
Les amateurs de pittoresque pourront circuler, à marée basse, au pied et le long des escarpements, sur la grève humide.
Vingt-trois grottes façonnées par l’érosion longent la côte, quelques unes de forme curieuse, comme Le Rocher des « Corbeaux » près de Pierre Plate qui représente une énorme masse granitique entourée par la mer à chaque marée.
La Grande Côte est à pic sauf, à mi-chemin, Pierre Plate, rocher d’assez grande étendue descendant en pente douce de la falaise à la mer. Cette pointe avancée est divisée en trois parties par deux énormes rainures présentant chacune, à marée haute, un phénomène différent. L’une des crevasses est très étroite et mène partiellement à l’intérieur du rocher : à mi-marée, le flot y pénètre et y gronde comme un tonnerre assourdi. On la nomme « La Pétouse » ou « Trou du Diable ».
A l’entrée de la baie du Sphinx, la Grotte des Jumelles est, de toutes, la plus intéressante car la plus curieuse et pittoresque : on y accède par deux passages en forme de couloirs. Entre les ouvertures des Jumelles, la Cathédrale mérite également d’être remarquée. A l’entrée de cette grotte, la partie supérieure du rocher présente un mélange rose et vert pâle du plus heureux effet, et à l’intérieur les parois sont tachetées de traînées rouges.
La baie du Sphinx doit son nom à un rocher rappelant vaguement la forme de ce monstre, dont la partie représentant la tête s’est malheureusement détachée du bloc depuis plusieurs années. A côté se trouve la Grotte du Sphinx.
GROTTE DES KORRIGANS
De toutes les grottes, la plus célèbre reste celle des « Korrigans ». Depuis qu’on y a ouvert une fente latérale, elle est accessible par son escalier aux degrés espacés. Avant qu’on y eut percé le passage de sécurité, de célèbres personnages en vacances faillirent y rester bloqués lors d’un pique-nique. Ils avaient oublié que la marée montait.
Selon la légende, cette grotte était fréquentée par les korrigans, petits êtres noirs et vifs, se livrant la nuit à de mystérieuses occupations. Ils s’asseyaient parfois au foyer des gens du voisinage, rendaient des services ou se vengeaient malicieusement des tours qu’on leur jouait. Sur une parole, la paroi magique de la grotte s’ouvrait et laissait voir d’éblouissants trésors. Il aurait existé au fond de cette grotte, un conduit souterrain se prolongeant jusqu’à Guérande et dans lequel le Korrigan faisait disparaître les personnes assez téméraires pour oser pénétrer dans son domaine.
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